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Partager un repas est meilleur pour l’environnement

By on 2 Sep 2016

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Partager une repas : diminuer son impact écologique

Individuellement, une personne produit plus de déchets alimentaires qu’en groupe d’amis. Et pour cause : plus la quantité de nourriture achetée est importante (achat en gros), plus l’emballage est grand, et donc, plus la proportion de déchets diminue (emballage). Partager un repas avec ses amis ou sa famille est une manière de contribuer à réduire son impact écologique.

Et cela vaut de même pour les boissons : en achetant une grande bouteille de limonade 1.5l, vous consommez deux fois moins de déchets qu’avec une bouteille de 0.5l, proportionnellement au contenu. De surcroît, un produit « en gros » revient moins cher…

Suivant cette logique, il est donc préférable de partager un bon repas en famille que s’avachir tout seul devant son assiette, en regardant la télévision !

Consommation en Suisse : tendances contraires

Malheureusement, en Suisse comme ailleurs, les tendances démontrent également que la population consomme toujours davantage de petites portions. Partager un repas n’est pas dans les mœurs et ce phénomène est possiblement dû à l’augmentation des ménages individuels ou à deux, puisqu’ils représentent plus de 65% du total des ménages d’aujourd’hui.

Convenience food : ennemi de l’environnement

L’augmentation de la quantité de déchets liés à l’alimentation est également le résultat d’un autre facteur :Convenience food la mode de la Convenience food. Oui, vous les connaissez tous, ces fameux plats pré-cuisinés aux goûts et couleurs très suspects ! Plastique en abondance et carton qui protège le plastique protecteur lui-même d’une nourriture bourrée de conservateurs et d’additifs alimentaires aux noms imprononçables, censés protéger la « nourriture » qu’ils contiennent.

Et l’Association SEL-de-Table dans tout ça ?

Vous l’aurez compris, l’Association SEL-de-Table n’en fait pas la promotion ! Toutefois, nous respectons le choix de chacun, tout en espérant que certains, avec le temps, réouvriront leur frigo aux aliments non modifiés de notre terroir. Plus encore, nous espérons que ces mêmes personnes prendront conscience que partager ces produits avec leur famille et amis aura un impact direct sur leur santé, leur portemonnaie ET l’environnement lui-même.

En résumé : partager un repas peut être bénéfique pour l’environnement !

Christophe Rouiller – VP Association SEL-de-Table

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